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La Machine infernale

de Jean Cocteau

2004

 

En 2004, la Corde Verte s'attaquait au mythe d'Œdipe, via une des plus belles œuvres de Jean Cocteau, La Machine Infernale, dans une mise en scène de Christian Makaya. Profitant de la maturité et du public acquis lors de ses deux premières années d’existence, la troupe allait cette fois ci se produire plus souvent en dehors des festivals, notamment à Paris, Marseille et Lyon. Une nouvelle année, une nouvelle pièce et un nouveau défi pour la Corde Verte…

 

Sur les remparts protégeant la ville de Thèbes, devant des gardes incrédules, le fantôme du roi Laïus essaie de prévenir sa veuve, la reine Jocaste, d’un malheur qui guette la ville. Cependant, Jocaste reste sourde à ses appels.Au même moment, le jeune Œdipe rencontre mystérieusement le sphinx aux portes de Thèbes : il résout l’énigme, débarrasse la cité de ce monstre et se voit offrir le trône de la reine Jocaste qu’il ignore être sa mère.La nuit de noces révèle des signes du destin mais ni Œdipe ni Jocaste ne sont capables de les discerner. Ce n’est que dix-sept ans plus tard qu’Œdipe apprendra qu’il a bien accompli l’oracle en tuant son père Laïus et en épousant sa mère Jocaste. Face à cette situation, Jocaste se pend, Œdipe se crève les yeux et quitte la ville guidée par sa fille Antigone.

 

“Beaucoup d'hommes naissent aveugles, et ils ne s'en aperçoivent que le jour où une bonne vérité leur crève les yeux.”Oedipe

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